Maintenancia soutient la pétition "Non à la suppression de l'enseignement technologique en 6ème" portée par les enseignants de technologie via leurs associations, Assetec, UPSTI, Pagestec et l'AEET
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Nouveau métier 2022 : la maintenance industrielle !
À bientôt pour plus d'informations sur les sélections, les épreuves régionales et la finale nationale qui aura lieu en septembre 2023 à Lyon. Cette finale permettra de connaître les concurrents qui seront sélectionnés pour les compétitions Européennes et Mondiales.
Qu’ont en commun une chaudière, une voiture, un panneau de signalétique, un smartphone, une cathédrale, une œuvre d’art, un satellite, un lave-linge, un pont, une horloge, un serveur informatique, le corps d’un illustre homme d’État, un tracteur ? Presque rien, si ce n’est qu’aucune de ces choses, petite ou grande, précieuse ou banale, ne perdure sans une forme d’entretien. Tout objet s’use, se dégrade, finit par se casser, voire par disparaître. Pour autant, mesure-t-on bien l’importance de la maintenance ? Contrepoint de l’obsession contemporaine pour l’innovation, moins spectaculaire que l’acte singulier de la réparation, cet art délicat de faire durer les choses n’est que très rarement porté à notre attention.
Ce livre est une invitation à décentrer le regard en mettant au premier plan la maintenance et celles et ceux qui l’accomplissent. En suivant le fil de différentes histoires, ses auteurs décrivent les subtilités du « soin des choses » pour en souligner les enjeux éthiques et la portée politique. Parce que s’y cultive une attention sensible à la fragilité et que s’y invente au jour le jour une diplomatie matérielle qui résiste au rythme effréné de l’obsolescence programmée et de la surconsommation, la maintenance dessine les contours d’un monde à l’écart des prétentions de la toute-puissance des humains et de l’autonomie technologique. Un monde où se déploient des formes d’attachement aux choses bien moins triviales que l’on pourrait l’imaginer.
Auteurs :
Jérôme Denis, professeur de sociologie à Mines Paris-PSL.
David Pontille est directeur de recherche au CNRS.
Parution : 13/10/2022
- Format :13cm x 22cm
- Nombre de pages : 400
L'intelligence artificielle (IA) est devenue un outil incontournable pour améliorer les performances et l'efficacité de la maintenance industrielle. Les entreprises peuvent utiliser l'IA pour automatiser les tâches répétitives, optimiser les processus de maintenance et anticiper les pannes pour réduire les temps d'arrêt et les coûts de maintenance.
L'un des principaux avantages de l'IA pour la maintenance industrielle est sa capacité à analyser les données à grande échelle en temps réel. Les capteurs et les systèmes de surveillance connectés permettent de collecter des données en continu sur les machines et les équipements, et l'IA peut utiliser ces données pour identifier les anomalies et les tendances qui peuvent indiquer une panne imminente. Les entreprises peuvent utiliser cette information pour planifier les interventions de maintenance préventive, réduisant ainsi les temps d'arrêt et les coûts de maintenance.
Outre la détection des pannes, l'IA peut également être utilisée pour automatiser les tâches de maintenance répétitives, comme la surveillance des niveaux d'huile et de carburant, la vérification des températures et des pressions, et la vérification des niveaux de bruit et de vibration. Les entreprises peuvent utiliser des robots et des drones pour effectuer ces tâches de manière autonome, sans risque pour les employés et en réduisant les coûts de main-d'œuvre.
Pour mettre en pratique l'IA pour la maintenance industrielle, les entreprises doivent avant tout disposer de données de qualité et en suffisance. Il est important de s'assurer que les capteurs et les systèmes de surveillance connectés sont correctement installés et configurés pour collecter des données précises et fiables. Les entreprises doivent également disposer d'une plateforme pour stocker et traiter ces données, ainsi que d'une équipe de professionnels compétents pour mettre en place et utiliser des modèles d'IA.
Les compétences nécessaires pour mettre en pratique l'IA pour la maintenance industrielle incluent des connaissances en matière de collecte et de traitement de données, ainsi qu'une bonne compréhension des modèles d'IA et des algorithmes d'apprentissage automatique. Il est également important de disposer de compétences en matière de maintenance industrielle pour comprendre les processus et les équipements concernés et pour être en mesure de mettre en place les interventions appropriées.
Enfin, la mise en place d'une IA pour la maintenance industrielle ne doit pas se faire uniquement pour le seul fait d'utiliser cette technologie mais il faut s'assurer qu'elle apporte une réelle valeur ajoutée pour l'entreprise. Il est donc important de bien identifier les besoins et les objectifs de la maintenance, et de sélectionner les modèles et les algorithmes d'IA appropriés pour atteindre ces objectifs. En utilisant l'IA de manière stratégique, les entreprises peuvent améliorer les performances et l'efficacité de leur maintenance industrielle tout en réduisant les coûts et en améliorant la sécurité des employés.
L'IA pour la maintenance industrielle n'est pas une solution magique qui remplacera les employés qualifiés. Les employés qualifiés restent essentiels pour effectuer des tâches critiques et pour prendre des décisions en cas de panne ou de situation imprévue. L'IA peut plutôt être utilisée pour augmenter l'efficacité des employés en leur permettant de se concentrer sur des tâches plus complexes et à plus haute valeur ajoutée. Il est important de s'assurer que les employés sont formés à l'utilisation des outils d'IA et qu'ils comprennent comment ces outils peuvent les aider dans leur travail quotidien.
Pour résumer, l'IA pour la maintenance industrielle peut offrir de nombreux avantages pour les entreprises, tels que la détection des pannes, l'automatisation des tâches répétitives, l'optimisation des processus de maintenance et la réduction des coûts et des temps d'arrêt. Cependant, pour tirer pleinement parti de ces avantages, les entreprises doivent disposer de données de qualité, de plateformes d'IA adaptées et d'une équipe de professionnels compétents. Il est également important de s'assurer que l'IA est utilisée de manière stratégique pour atteindre les objectifs de l'entreprise et qu'elle est utilisée en complément des employés qualifiés pour augmenter leur efficacité.
L'IA pour la maintenance industrielle est un domaine en constante évolution. Les avancées technologiques continuent d'améliorer les capacités des modèles d'IA et des algorithmes d'apprentissage automatique, et de nouvelles applications de l'IA pour la maintenance industrielle sont en cours de développement. Les entreprises qui souhaitent tirer parti de ces avancées doivent être prêtes à investir dans la recherche et le développement pour rester à jour avec les dernières tendances et technologies.
Enfin, il est essentiel de respecter les règles de confidentialité et de sécurité des données lors de l'utilisation de l'IA pour la maintenance industrielle. Les données collectées par les capteurs et les systèmes de surveillance peuvent contenir des informations sensibles sur les machines et les équipements, et il est important de s'assurer que ces données sont protégées contre les accès non autorisés et les fuites de données. Il est également important de respecter les réglementations et les normes relatives à la protection des données.
En somme, l'IA pour la maintenance industrielle offre de nombreux avantages pour les entreprises qui souhaitent améliorer les performances et l'efficacité de leur maintenance, mais il est important de bien comprendre les possibilités de l'IA, de disposer de données de qualité et d'une équipe de professionnels compétents pour mettre en place et utiliser les modèles d'IA. Il est également important de s'assurer que l'IA est utilisée de manière stratégique pour atteindre les objectifs de l'entreprise et qu'elle est utilisée en complément des employés qualifiés pour augmenter leur efficacité. Les entreprises doivent également être prêtes à investir dans la recherche et le développement pour rester à jour avec les dernières tendances et technologies, et respecter les règles de confidentialité et de sécurité des données.
L'IA pour la maintenance industrielle n'est pas seulement utile pour les entreprises, mais aussi pour les employés travaillant dans cette industrie. En utilisant l'IA pour automatiser les tâches répétitives et pour détecter les anomalies et les tendances qui peuvent indiquer une panne imminente, les employés peuvent se concentrer sur des tâches plus complexes et à plus haute valeur ajoutée. Cela peut également les aider à éviter les risques pour la santé et la sécurité liés à des tâches potentiellement dangereuses.
L'IA pour la maintenance industrielle est un domaine qui est en train de devenir de plus en plus populaire, et il y a donc de nombreuses entreprises proposant des solutions d'IA pour la maintenance industrielle. Il est important pour les entreprises d'évaluer les différentes options disponibles et de choisir celle qui convient le mieux à leurs besoins spécifiques. Il est également important de s'assurer que les solutions choisies sont fiables et de qualité, et de s'assurer que les entreprises disposent de la capacité de les utiliser et de les maintenir.
En conclusion, l'IA pour la maintenance industrielle offre de nombreux avantages pour les entreprises qui souhaitent améliorer les performances et l'efficacité de leur maintenance, ainsi que pour les employés travaillant dans cette industrie. Il est important de bien comprendre les possibilités de l'IA, de disposer de données de qualité et d'une équipe de professionnels compétents pour mettre en place et utiliser les modèles d'IA. Il est également important de s'assurer que l'IA est utilisée de manière stratégique pour atteindre les objectifs de l'entreprise, d'être prêts à investir dans la recherche et le développement pour rester à jour avec les dernières tendances et technologies et de respecter les règles de confidentialité et de sécurité des données.
Replay de la visio-conférence en direct du mardi 13 décembre 2022 à 20h15
Les activités industrielles génèrent des risques lors de leur exploitation ordinaire. De part leur caractère exceptionnel, les périodes des interventions techniques sur les équipements, les périodes d'arrêt pour réparation ou pour modifications des équipements concentrent directement une part significative de ces risques. Etre correctement assuré est important pour la protection des biens mais aussi la protection des personnes. Les risques présents sur les sites industriels et spécifiquement lors des interventions techniques méritent une attention particulière des encadrants et dirigeants. Les pertes peuvent être diverses voire importantes pour un entreprise suite à un dégât, un incendie, un vol ou un bris de machine. Ces dommages peuvent aussi avoir des conséquences sur un plan juridique et un impact au niveau contractuel dans la relation avec d'autres sociétés concernées par le dommage.
Pour s'y retrouver dans les nombreux contrats et protections possibles, pour bien appréhender les sous-jacents que sont les conditions et la bonne détermination des périmètres des couvertures d'assurance, les expertises, notre intervenant s'attachera à préciser tous ces sujets à destination des responsables de sites ou des responsables techniques. En particulier, les points sensibles à vérifier dans les contrats d'assurance ou les polices opportunes à souscrire pour couvrir certains risques.
Notre intervenant : Daniel AZARIAN (promo Ai 99) est intermédiaire en assurance, agent général MMA et courtier pour les autres compagnies d'assurance chez AFA. Daniel est spécialiste des risques entreprises. Il rédige régulièrement, dans son domaine d'expertise qui est l'assurance, des articles pour Arts & Métiers Magazine.
Sous-traiter tout ou partie des opérations de maintenance est largement appliqué dans de nombreux secteurs de l'industrie. Cela est même une nécessité lors des périodes d'arrêt où les pics d'activités requièrent de faire appel à une main d'oeuvre et des compétences externes.
En dehors des périodes d'arrêt, la sous-traitance peut porter sur des activités de maintenance courante, porter sur différents corps de métiers et être exécutée par un certain nombre de prestataires. Comment peut-on gérer au mieux tout cela?
Pour partager avec nous son analyse, notre intervenant présentera:
- les avantages mais aussi les risques potentiels d’une sous-traitance de la maintenance
- la mise en œuvre dans des conditions optimales d’une maintenance sous-traitée
- les bonnes pratiques pour établir des contrats garantissant une maintenance efficace
Apportant à la fois une vision en tant que client et en tant que prestataire, notre intervenant évoquera les clés pour faire de la maintenance non pas un centre de dépenses, mais une fonction créatrice de valeur.
Intervenant : Rabah ACHEMAOUI est directeur du développement de la maintenance et digitalisation chez FOURE LAGADEC qui fait partie du groupe SNEF.
Rabah a 30 ans d'expérience dans la maintenance auprès de plusieurs sociétés. Rabah a été chargé d'affaires puis Directeur d'agence chez METAREG spécialisée dans la maintenance, le transfert industriel, les appareils de levage et l'assemblage technique.
Rabah a été Directeur des contrats de maintenance chez ENDEL ENGIE.
Rabah intervient aux Arts et Métiers dans le cadre du mastère maintenance et il est administrateur de l'AFIM (Association Française des Ingénieurs de Maintenance).
Rabah a écrit un livre intitulée LA MAINTENANCE SOUS-TRAITEE. Il est publié aux éditions Dunod et cette présentation en reprendra quelques extraits.
La modélisation des données du bâtiment (BIM) vise à faciliter la vie des professionnels du secteur du bâtiment et des travaux publics en leur permettant de planifier, concevoir, construire et gérer plus efficacement des ouvrages et des infrastructures. Les intervenants à un projet de construction peuvent également tirer parti des outils de réalité augmentée durant les différentes phases du cycle de vie du projet : aide à la décision, réduction des malfaçons, augmentation de la productivité du suivi de chantier en anticipant les erreurs, facilitation de la maintenance du bâtiment...
Le BIM (Building Information Modeling pour modélisation des informations d'un bâtiment) associe une maquette numérique à une base de données partagée par les différents acteurs intervenant à un projet de construction. Une telle plateforme logicielle fournit donc une représentation numérique en trois dimensions (3D) d'un bâtiment en cours de construction en y intégrant ses caractéristiques physiques et fonctionnelles. Cet environnement virtuel réunit l'ensemble des informations du projet relatives aux spécifications géométriques et géographiques, à la nature des matériaux, aux caractéristiques des équipements utilisés... Les différents intervenants à la réalisation de l'ouvrage disposent ainsi d'une représentation 3D du projet dès sa conception et au fil de sa construction. La maquette numérique leur permet non seulement de visualiser le projet dans son ensemble mais également zone par zone, selon différents angles, différentes strates... Il est possible de ne faire apparaître sur la maquette 3D que des informations ou des structures spécifiques. Chaque corps de métier (électricité, chauffage, plomberie, réseaux informatiques, etc) peut visualiser uniquement les données et les éléments techniques le concernant. Ce qui permet d'éviter toutes confusions et se concentrer uniquement sur les informations utiles à son intervention.
La maquette numérique permet de virtuellement s'immerger au sein d'un bâtiment, de le visiter et de l'examiner dans ses moindres détails. Les équipes chargées de la maîtrise d’œuvre, de la conception (architecte, bureaux d’études), de la maîtrise d'ouvrage et de la construction peuvent, en déambulant dans le bâtiment vérifier sur une tablette, un PC voire même un smartphone, et en sélectionnant les éléments qui les intéressent, s'assurer que les travaux qui ont été effectués sont conformes à ce qui apparaît sur la représentation virtuelle du projet final.
De la réalité virtuelle à la réalité augmentée
Alors que la réalité virtuelle crée numériquement un univers réel ou imaginaire, la réalité augmentée exploite quant à elle de véritables images d’un bâtiment, d’une machine, d’un appareil, d’une installation ou de tout autre équipement. A ces images prises en temps réel viennent s’ajouter des éléments virtuels : modèles CAO, textes, graphiques, zones colorées, éléments de signalisation, etc. Le BIM peut mettre à profit sa maquette numérique pour tirer parti du potentiel des solutions de réalité augmentée. Ces solutions vont superposer des éléments virtuels directement sur l'image prise dans l'environnement réel par la caméra d'une tablette ou d’un smartphone. Elles peuvent faire apparaître selon le choix, le domaine d'intérêt et le métier de l'utilisateur des équipements, des structures ou des matériaux spécifiques dans leur environnement réel. Elles permettent donc de se rendre compte d'un seul coup d’œil de l'état d'avancement d'un chantier, de comparer l'ouvrage réel avec celui du projet virtuel et de relever d'éventuelles erreurs, dérives ou malfaçons.
Dans le contexte du BIM, les outils de réalité augmentée peuvent notamment être exploités dans trois cas de figure : en phase de conception pour l'examen des solutions proposées, en phase de construction pour le suivi de l'avancement de la construction, en phase d'exploitation pour la maintenance du bâtiment et en phase de rénovation.
Principaux cas d'usage de la réalité augmentée :
En phase de conception, les bureaux d'études et les architectes peuvent évaluer de façon immersive la faisabilité, la fonction et l'esthétique de leur choix technique. Le résultat des modifications est facilement identifiable et les options de conception peuvent être évaluées rapidement en les confrontant à leur environnement réel.
En phase de construction, les outils de réalité augmentée permettent aux équipes chargées de la construction de visualiser par exemple où doivent être montés les équipements, où les murs doivent se rejoindre, où les portes doivent être placées, etc. Ils facilitent les opérations de mise en place des gaines de chauffage, de ventilation et de climatisation, les canalisations d'eau et les câblages électriques. Le conducteur de travaux peut également organiser une réunion sur la zone de travail du chantier pour montrer aux ouvriers sur sa tablette quelle est la procédure de réalisation d’une opération spécifique afin qu'elle soit réalisée conformément aux exigences de conception et de sécurité.
En phase d'inspection, les outils de réalité augmentée permettent de comparer visuellement le projet tel qu'il a été conçu et celui tel qu'il a été construit. Des listes de contrôle peuvent être présentées dans leur contexte et filtrées selon la zone inspectée. Des lignes électriques aériennes et souterraines dissimulées peuvent être intégrées et apparaître à l'image. Si l'inspecteur relève un problème, il peut noter dans l'environnement de réalité augmentée son emplacement précis associé à des commentaires ou des photos afin de pouvoir déclencher ultérieurement une action corrective.
Lors de la phase exploitation, les opérateurs de maintenance peuvent profiter sur l'écran d'une tablette ou d'un smartphone de l'affichage combiné d’images réelles et virtuelles. Ils ont également accès aux schémas des équipements et aux instructions de vérification qui les guident dans leurs opérations garantissant ainsi la conformité et l'efficacité de leur intervention de dépannage.
Dans le cadre de travaux de rénovation, les outils de réalité augmentée permettent de visualiser l'emplacement des infrastructures cachées telles que des poutres et autres éléments structurels ainsi que des gaines, des conduits, des câbles, des tuyaux... Ils permettent également à l'exploitant du bâtiment de visualiser les modifications et d'identifier les problèmes dès le début de la phase de planification.
Marc Akoto est ingénieur automaticien, diplômé des Arts & Métiers. Son parcours professionnel l’a conduit - après 5 ans d’expérience au sein de divers groupes industriels - à créer son entreprise et à développer son activité freelance depuis 2 ans.
Marc conçoit les programmes qui permettent de faire remonter les informations collectées par les capteurs à travers les réseaux locaux industriels (RLI), ce système de communication qui garantit l’échange d’informations entre les différentes machines d’une entreprise. Ces données alimentent non seulement la supervision / hypervision qui permet le pilotage des installations industrielles, mais également les services maintenance aujourd’hui de plus en plus connectés.
Lien vers le site web de Marc Akoto
Lien vers la page Maintenancia de Marc
- + de 400 ressources numériques accessibles par QR code ou mini-lien dont 300 exercices interactifs.
- Un guide généraliste qui apporte tous les fondamentaux nécessaires à un technicien travaillant dans l'industrie aujourd'hui.
- Utilisable de la Seconde Bac Pro au BTS.
- + de 100 fiches thématiques sur les fondamentaux du technicien industriel (notions de base, techniques et normes).
- Ancrage dans le monde professionnel grâce à notre partenariat avec l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) qui propose de faire découvrir les différents métiers de l’industrie à travers des témoignages et des fiches métiers.
- Des fiches très structurées, synthétiques et pédagogiques pour aller à l'essentiel.
- Une maquette colorée et aérée avec de nombreux schémas pour un accompagnement pédagogique efficace.
- Les nouveaux enjeux de l’industrie : le numérique et les nouvelles
technologies (usine connectée, conception et fabrication assistées par ordinateur, etc.) et une production soucieuse de l’environnement
- Le public
- 1) Pour les élèves de Bac Pro La famille de métiers Réalisation d'ensembles mécaniques et industriels : technicien modeleur, technicien fondeur, technicien en réalisation de produits mécaniques (options : réalisation et suivi de production et des outillages), technicien en chaudronnerie industrielle, technicien en microtechniques, technicien en traitements des matériaux. La spécialité hors familles : Etude et définition de produits industriels.
- 2) Pour les élèves de BTS dans les spécialités suivantes Conception de produits industriels (CPI), assistance technique d'ingénieur (ATI), conception des processus de découpe et d'emboutissage (CPDE), conception de processus de réalisation de produits (CPRP), conception et industrialisation en microtechniques (CIM), conception et réalisation en chaudronnerie industrielle (CRCI), fonderie.
- 3) Pour les professionnels
Pour en savoir plus : https://www.enseignants.hachette-education.com/livres/guide-technicien-industriel-livre-eleve-ed-2022-9782016280096
- Vous êtes titulaire d'un diplôme de niveau IV ou V en électricité, électromécanique, électrotechnique (CAP / BEP ou Bac PRO),
- Vous avez le permis B,
Nous avons un poste pour vous !
Postulez ici.
Contactez-nous : [email protected]
Vous êtes directeur de site, directeur technique, responsable maintenance ou futur ingénieur ? Vous êtes en donc première ligne et directement concernés par les nouveaux risques induits par la numérisation des process de fabrication et le développement des solutions de maintenance de l'usine du futur.
Venez rencontrer les intervenants de l’ANSSI (Agence Nationale de Sécurité des Systèmes d’Information) dont la mission est de sensibiliser les industriels à ces enjeux en décrivant les risques encourus et en présentant des cas concrets de compromission de données : prise de contrôle d’installations industrielles, dérèglements, dégradations ou destruction des équipements.
Une conférence pour faire le point sur votre stratégie préventive et actions à anticiper en cas d'attaque.
Les intervenants : Agence Nationale de Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI), autorité nationale en matière de sécurité et de défense des systèmes d'information. Pour aider à faire face à ces nouveaux risques l’ANSSI rédige des guides de bonnes pratiques pour détecter les compromissions ou les attaques sur les systèmes industriels. Prévention, protection, réaction, formation.
"L’ANSSI s’est substituée à la direction centrale de la sécurité des systèmes d’information (DCSSI) du secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) tout en renforçant les compétences, les effectifs et les moyens. Elle est chargée de la promotion des technologies, des systèmes et des savoir-faire nationaux." (Source: site internet ANSSI)
Évènement organisé par le Groupe Professionnel "Maintenance et Fiabilité" - Arts & Métiers ParisTech

Comme chaque année, le département MRF a lancé sa campagne de recrutement d’apprenti.es pour la maintenance.
Nous avons encore des places pour des apprentissages :
- Mécanicien.nes (bac pro BAC PRO MSPC (ex MEI) - Maintenance des Systèmes de Production Connectés, bac pro MELEEC)
- Technicien.nes (bac + 1 titre professionnel TMI)
Nos équipes transmettent chaque année leur savoir-faire !
Si vous connaissez des étudiants en recherche d’alternance dans la maintenance, n’hésitez pas à leur communiquer notre adresse : [email protected]
Dans le cadre de sa politique en faveur de l'emploi et des compétences, la RATP s’engage chaque année à recruter au moins 850 alternants.
Cette politique ambitieuse favorise l’insertion professionnelle des jeunes par la transmission des savoirs et des compétences de ses collaborateurs.
Christophe Cabrera enseigne au lycée Joliot Curie (Dammarie les Lys, 77 Seine-et-Marne) en Bac Pro MELEC et organise depuis 2012 le concours MyEleec. Ce concours national a pour objectif de valoriser le travail des élèves en proposant une épreuve de cablage se déroulant sur une journée. Grâce à l'appui des partenaires industriels les élèves sont très motivés car ils travaillent chaque année avec du matériel moderne. Tous les détails sur le concours MyEleec 2022 dans le podcast !
Géry de la chaîne YouTube jeviensbosserchezvous découvre aujourd'hui le métier de mécanicien.ne de maintenance à la RATP, avec Pierrick.
Son métier (de l'ombre) : technicien de maintenance à la RATP, sur la ligne M1. Passionné de mécanique, Pierrick entretient les voitures du métro : freins, batteries, portes... Tout y passe ! Comme pour l'automobile, tous les 15000 km, une révision s'impose à l'atelier. Aussi à l'aise sous le train qu'à ses commandes, Pierrick maîtrise la technique grâce à des formations continues. Après un Bac pro en Maintenance des systèmes mécaniques automatisés (MSMA ex-MEI), il a d'abord travaillé pour une entreprise privée du secteur poids-lourd, avant de postuler à la RATP dont il est fier de faire partie aujourd'hui, heureux aussi de participer à une filière d'avenir et de transporter des millions de passagers en toute sécurité.
Ce métier et la filière de la maintenance industrielle sont accessibles par de nombreuses voies et études, et même dès la classe de première.
Découvrez dans cette vidéo le parcours de Pierrick et les qualités requises pour faire son job.
La RATP se développe et recrute : vous aussi, embarquez dans un projet d'avenir !
M
Pour compléter voici le lien vers les guides de l'ANSSI : Bonnes pratiques | Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ssi.gouv.fr)
ainsi que le lien vers la liste des délégués de l’ANSSI en régions : Action territoriale | Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ssi.gouv.fr)